• Une représentation large des communautés disciplinaires (des élus parmi les instances ou représentants des structures) pour favoriser l’appropriation et adapter les actions en fonction de celles-ci
• Une participation de plusieurs pôles et directions de l’université représentative de la diversité des fonctions supports
• La présence dans ces instances des partenaires privilégiés de l’université comme les EPST du site et de partenaires extérieurs reconnus
• Une organisation structurée en 2 niveaux pour articuler le stratégique et l’opérationnel  avec un Conseil pour la Science Ouverte et des Comités opérationnels.

• Le Conseil pour la Science Ouverte fixe les orientations de la stratégie science ouverte et les inscrit dans la stratégie globale et les grands projets de l’université. Il se réunira chaque semestre.
• Il procède à la mise en cohérence et priorisation et la validation.
• Il a aussi un rôle prospectif avec les actions nationales et internationales.
• Il vérifie que les actions prévues sont bien engagées et permettent l’amélioration des indicateurs de la science ouverte.
• Il est responsable de la mise en œuvre du baromètre bordelais de la science ouverte qui sera présenté annuellement devant le Conseil d’administration.
• Il peut être consulté pour d’autres projets et par d’autres instances de l’université sur des thématiques connexes à celles de la feuille de route  science ouverte.

• Les Comités opérationnels suivent la mise en œuvre du programme annuel des actions, ils préparent les éléments pour les dossiers qui nécessitent une prise de décision du Conseil pour la Science Ouverte, ils produisent un rapport d’activité annuel.
• Ils effectuent un travail de veille sur leurs sujets et peuvent proposer des évolutions pour une  validation par le Conseil pour la Science Ouverte.
• Chaque Comité opérationnel établit les relations fonctionnelles nécessaires avec d’autres instances existantes actuelles ou à venir sur les sujets qui le concernent.
• Un porteur politique et un pilote opérationnel seront chargés de l’animation et de la coordination du comité.

Les chercheurs sont les premiers acteurs de cette internationalisation par la nature même de la recherche scientifique mais aussi par leurs réponses aux appels à projet (Horizon Europe, ERC). L’université quant à elle, en tant qu’institution, appartient à différents réseaux européens (EUA) ou internationaux dans lesquels la science ouverte occupe une place de plus en plus importante.

En 2019, l’université de Bordeaux a fondé l’alliance ENLIGHT avec 8 autres universités pour créer une université européenne dont la science ouverte et citoyenne est une des thématiques majeures.

L’université de Bordeaux doit contribuer à faire avancer la réflexion stratégique sur la science ouverte, tant du point de vue méthodologique que technologique dans les réseaux nationaux ou internationaux.

Objectifs :

• S’engager à soutenir les actions des structures et associations nationales qui permettent de partager les objectifs d’une science plus ouverte avec nos homologues européens et internationaux
• Exercer une veille sur les initiatives nationales et internationales qui concernent les 5 axes de la feuille de route et partager celle-ci au sein de la communauté de recherche
• Prendre part à ces initiatives par la participation aux groupes de discussion, de décision et aux appels à projets tant au niveau national qu’international
• Soutenir financièrement et activement les structures et organisations non commerciales  internationales qui ont pour vocation la valorisation de la science ouverte et les projets éditoriaux  dits « vertueux »
• Intégrer les communautés internationales des utilisateurs d’outils Open Sources et participer activement aux échanges dans les forums et instances dédiés (Communauté OJS et Communauté Dspace par exemple)